La Suisse à VTT: étape 13
Dimanche 10 septembre : 40 kilomètres, 1600D+
Après 6h30 de trajet en train, me voici au départ de Scuol pour une nouvelle traversée qui me mènera jusqu’à Aigle.
Dimanche 10 septembre : 40 kilomètres, 1600D+
Après 6h30 de trajet en train, me voici au départ de Scuol pour une nouvelle traversée qui me mènera jusqu’à Aigle.
Badaboum ! Oups !
Voilà un peu près à quoi ressemblait le bruit de ma drôle de chute le mercredi 12 juillet.
Dimanche 2 mai 2017: 50 kilomètres, 1300m D+
Une semaine après mon retour de Madagascar, j’enfourche à nouveau mon vélo pour la suite de l’aventure. Ma motivation est restée intacte, mais mes muscles accusent quelque peu les vacances et je sens que j’ai perdu une partie de ma condition physique sur l’Ile Rouge, où l’unique règle respectée est le « mora mora » (doucement, doucement).
Jeudi 18 mai 2017, Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, consultation de cardiologie
Ce matin, j’ai rendez-vous avec mon cardiologue pour un contrôle du cœur. J’ai toujours un léger stress au moment de l’échocardiographie, quand il regarde mon cœur à l’aide d’une sonde. Je me rappelle de mon retour en urgences au bloc opératoire après ma première opération et j’ai une petite appréhension qu’il découvre quelque chose qui ne va pas.
Jeudi 4 mai 2017: Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, consultation de chirurgie de la main
Le but de ce périple est de vivre une aventure incroyable mais aussi d’attirer le regard de la population sur les maladies invisibles et les préjugés que l’on peut avoir à propos de la maladie et du handicap. C’est pourquoi je partage les bons comme les mauvais moments, et si mes aventures de folie sont possibles, c’est aussi grâce à toute l’équipe médicale qui est derrière !
Dimanche 30 avril 2017: 140 kilomètres, 2400m D+
Je saute sur mon vélo à 5h30 du matin et monte dans le train qui part à 6h, direction La Ferrière.
Dimanche 23 avril 2017. 90 kilomères, 2200 mètres de dénivelé positif
Réveil à 5h du matin après une nuit agitée dans un mélange de doute et d’excitation… le matériel est prêt: une tente, un sac de couchage, un matelas de sol, un t-shirt de rechange, une couverture de survie, le téléphone, un slip, la frontale, mes feuilles de cours (eh oui, pas question de laisser tomber ma formation), la nourriture et de l’eau. J’enfourche mon vélo dans la fraîcheur du matin et je rejoins la gare, deux villages plus loin. C’est parti pour Bâle!
Toi, malade?! A d’autres, on ne me la fait pas celle-la!
« Malade, heureuse et sportive« : Voici mon slogan pour mon nouveau défi sportif. Le but? Sensibiliser la population aux maladies orphelines, invisibles, à la notion de handicap. Faire tomber les préjugés, un par un. Ma maladie n’est pas ma vie. Elle en fait partie mais elle ne me définit pas. Comme tout un chacun, je vis mes rêves, mes passions, je croque la vie à pleines dents!